Carnets d’Asie est une invitation à la découverte de la vie quotidienne et de la culture de deux pays du sud-est asiatique : le Vietnam et le Cambodge.
Les deux premiers épisodes ont été dédiés au Vietnam mais les deux prochains seront sur le Cambodge, à ne pas rater ( ou à enregistrer …) , c’est sur France 5 le Samedi 20 Novembre 2010 – 23:55 pour l’épisode 3 et le Samedi 27 Novembre 2010 – 23:57 pour l’épisode 4, France 5 ne nous facilite pas la tache avec des programmations aussi tardive et le samedi soir, mais bon il vous suffira de programmer l’enregistrement ^^
Voici les résumé des épisodes 3 et 4 de Carnets d’asie :
Épisode 3 : Cambodge- Palais, bonzes et danseuses.
Selon une légende khmère, les rois devaient s’unir chaque soir à une demi-déesse née des eaux, une apsara. Si le rite n’était pas accompli, misère et calamités s’abattaient sur le royaume… Décrit jadis comme une oasis de paix, de bonheur et de sérénité en Asie, le Cambodge a été coupé du monde pendant trente ans par la guerre, la dictature des Khmers rouges et l’occupation vietnamienne. Le pays se reconstruit depuis 1999 ; les temples au cœur de la forêt, les danseuses aux doigts souples et les moines aux ombrelles dorées ont traversé son histoire et font toujours partie de son patrimoine. Ce film permet de découvrir les beautés de la civilisation khmère et ses lieux emblématiques tel Angkor…
Épisode 4 Cambodge – Buffles, rizières et éléphants.
Peu éloignées des sites touristiques traditionnels, les campagnes et les montagnes participent à faire du Cambodge un pays de découvertes. Région de montagnes, la province de Ratanakiri est recouverte de forêts difficiles d’accès. Celles-ci étant traversées par les fleuves, les habitants ne peuvent se déplacer qu’en pirogue. Pour rester à l’abri des crues lors de la saison des pluies, les villages sont construits en hauteur. Les Brou ont plusieurs éléphants. Ils les utilisent pour promener les touristes et travailler en forêt. Chez les Tampoun, lorsque quelqu’un est malade, le sorcier prescrit le sacrifice d’un poulet ou d’un cochon ; si la guérison ne vient pas, il faut sacrifier un buffle, dont la mise à mort est brutale et violente ; c’est toutefois un moment de réjouissance et de communion où l’on s’amuse, boit et mange pour que les esprits soient satisfaits…